Salut Beuchat !

Je m’appelle Cédric Méhu, j’habite en France, je travaille dans la fonction publique et je fais de l’apnée et de la chasse sous-marine !

D’où vient ma passion pour la mer ?

Je me suis passionné pour la mer tout petit ! J’ai grandi avec les valeurs de la pêche responsable et l’amour de la faune et la flore sous-marine. Je suis né à Marseille, mon grand-père était pêcheur amateur et mon père m’a enseigné la pratique de la pêche sous-marine dès mon plus jeune âge.

J’ai aujourdhui encore la chance de vivre dans l’un des plus beaux endroits du monde au bord des calanques marseillaises. Le turquoise de l’eau m’apaise, le bleu est mon exutoire ! La pression de l’eau en apnée, la beauté des fonds et l’opportunité de croiser un animal exceptionnel est une passion que je partage avec amour sur YouTube.

Mon premier équipement Beuchat ?

Mon premier équipement Beuchat était une arbalète en aluminium, j’avais 16 ans, c’était mon cadeau d’anniversaire et je m’en souviens comme si c’était hier ! Je l’ai toujours dans mon bateau, et même si aujourd’hui je ne m’en sers plus. Avec une bonne révision je pourrais encore l’utiliser, mais ce qui est sûr c’est qu’elle a une grande valeur sentimentale à mes yeux ! C’est pourquoi je suis très fier aujourd’hui de représenter Beuchat et d’utiliser ses équipements !

Mon équipement Beuchat favori ?

Aujourd’hui, mon équipement favori est le masque Beuchat GP1 qui me permet de fixer ma caméra pour vous partager mes explorations sous-marines ! J'adore ce masque, il est performant et très bien pensé.

Une action pour la mer ?

Avec Beuchat, nous partageons les mêmes valeurs, et notamment celle de vivre et préserver la mer ! J’ai eu la chance de participer aux actions des pêcheurs du cœur avec Mathieu Ferreira. Nous avons ensemble créé de vidéos sous-marines pour les enfants et pêché pour les patients de la maison de Gardanne et pour les personnes sans-abris. Partager notre passion et le fruit de notre pêche avec des personnes dans le besoin est une action qui me touche particulièrement.

J'ai aussi l’habitude de ramasser les déchets plastiques qui polluent les fonds marins pendant ou après chaque sortie. C'est un geste qui me conforte, comme si on rendait à la mer ce qu’elle nous offre chaque jour.